Competition in this pair is now closed. Source text in German Eine äußerst interessante Studie des Projekts Theratalk von der Universität in Göttingen erstaunt viele Menschen. Bisher glaubten die meisten von ihnen, dass zu viel Sex Stress verursachen würde. Doch genau das Gegenteil kann nach Auswertung des Projekts der Fall sein. Praktizieren Menschen zu wenig Sex miteinander, kann die Folge hoher Stress sein.
Das haben wir schon immer gewusst, mögen sexfreudige Geister in diesen Tagen denken. Stress ist bekanntermaßen ein Lustkiller. Die Göttinger jedoch haben herausgefunden, dass Sexmangel den Stresspegel steigern lassen kann. Betroffene Paare geraten in einen beziehungsfeindlichen Strudel, aus dem sie allein kaum noch im Stande sind zu fliehen. Über 30.000 Männer und Frauen nahmen am Projekt teil. Mit dem Ergebnis, dass ein Drittel von ihnen, die maximal ein Mal pro Woche Sex miteinander haben, sich Hals über Kopf in die Arbeit stürzen. Eine Form der Frustbewältigung über das vermurkste Liebesleben unterm eigenen Dach. Je weniger im eigenen Bett - oder sonst wo passiert, umso mehr steigert sich die Arbeitswut der Betroffenen.
Wer hingegen schon zwei Mal binnen einer Woche Sex mit seinem Partner hat, der lässt es im Job entspannter angehen. Arbeitgeber mögen die Ohren spitzen und unruhig werden. Motto: Meine Leute sollten weniger Sex haben, dann leisten sie mehr. Doch es sollte in den Führungsetagen angekommen sein, dass Menschen ausbrennen und in Depressionen verfallen können. Mit entsprechenden Ausfallzeiten. Und Aktionismus ist nicht gleichzusetzen mit Produktivität. Ein sexuell aktiver und entspannter Mensch kann durchaus erfolgreich sein.
Dass ein Mangel an Sex Stress verursacht, der wiederum ein Lustkiller ist, ergänzt sich. Experten sprechen von einer Abwärtsspirale. Was für eine Beziehung auf Dauer das Aus bedeuten kann. Indikatoren sind sexuelle Frustration und Unzufriedenheit. Daher ist es wichtig, dass Paare ihre sexuellen Aktivitäten und ihre Zufriedenheit sowie ihre individuelle Befriedigung stets im Auge behalten. Besonders wichtig ist, dass man ohne Vorbehalte miteinander redet. Schweigen aus Scham oder gar aus falsch verstandener Rücksichtnahme ist ein Fehler. Wenn es zwei Menschen allein nicht schaffen, darüber zu reden und langfristig glücklich zu sein, ist eine Paartherapie zu empfehlen. Zu verdrängen, ist der Schritt ins mögliche Beziehungsende oder andere Dramen. Zurück zur Studie. Sexuell Frustrierte nehmen oft Verpflichtungen an, die sie nur schwerlich wieder loswerden. Wie Vereinsaktivitäten. Man möchte sich damit einfach nur ablenken vom akuten Sexfrust. Man hat infolge dessen weniger Zeit für die eigene Beziehung, was sich natürlich negativ auf die sexuelle Zufriedenheit auswirkt. Ein äußerst gefährlicher Teufelskreis! | The winning entry has been announced in this pair.There were 8 entries submitted in this pair during the submission phase. The winning entry was determined based on finals round voting by peers.
Competition in this pair is now closed. | Une étude particulièrement intéressante menée dans le cadre du projet Theratalk à l’université de Göttingen présente des conclusions étonnantes. Jusqu’à présent, il était couramment admis qu'une activité sexuelle excessive était facteur de stress. Mais si l’on en croit les résultats de l'étude, c'est justement le contraire. Un manque de pratique sexuelle peut engendrer un stress important.
Nous l’avons toujours su, penseront les inconditionnels. Le stress anéantit le désir, c’est bien connu. Les chercheurs de Göttingen ont cependant découvert que le manque d'activité sexuelle peut faire grimper le baromètre du stress. Les couples concernés voient alors leur relation entraînée dans un tourbillon destructeur, auquel il leur est pratiquement impossible d’échapper sans aide extérieure. Plus de 30 000 personnes, hommes et femmes, ont participé au projet. Les résultats montrent que ceux qui font l’amour au maximum une fois par semaine, soit un tiers des participants, s’impliquent énormément dans leur profession. Une forme d’exutoire aux frustrations engendrées par une vie sexuelle ratée sous le toit conjugal. En d’autres termes, plus les ébats se font rares dans le lit conjugal, ou ailleurs, plus les personnes concernées redoublent d'ardeur au travail.
En revanche, les sujets qui ont au moins deux rapports par semaine avec leur partenaire se présentent plus détendus au travail. Que les employeurs convaincus que leurs salariés doivent ralentir leur activité sexuelle pour être plus productifs dressent l’oreille et s’inquiètent. Aujourd’hui, le personnel dirigeant doit pourtant connaître la menace que représentent surmenage professionnel et dépressions nerveuses. Et le poids des arrêts de travail qui s’ensuivent. Et savoir que l’actionnisme n’est pas synonyme de productivité. Une personne sexuellement active et détendue peut tout à fait réussir.
Le manque de pratique sexuelle est un facteur de stress et ce dernier inhibe à son tour le désir : voilà des conclusions complémentaires. Les experts parlent ici d’une spirale descendante, qui peut avoir, à long terme, des conséquences fatales sur la relation. Les signes indicateurs de ce malaise sont la frustration sexuelle et l’insatisfaction. Mieux vaut donc pour les couples ne jamais négliger leur activité sexuelle, leur satisfaction ni leur contentement personnel. Il est particulièrement important de pouvoir communiquer sans réserve. Se taire par pudeur ou par égards déplacés est une erreur. Si deux personnes ne sont pas capables, d’elles-mêmes, de parler et d’être heureuses à long terme, une thérapie de couple s’impose. Refouler risque de faire échouer la relation ou de tourner autrement au drame. Mais revenons à notre étude. Les personnes sexuellement frustrées prennent souvent des engagements dont il leur est difficile de se libérer ensuite tels que les activités en association qui poursuivent le simple but de les distraire de la frustration sexuelle aiguë dont elles souffrent. À cause de ces engagements, le temps disponible pour la relation amoureuse diminue et la satisfaction sexuelle bien entendu s’en ressent. Un cercle vicieux extrêmement dangereux ! | Entry #4604
Winner Voting points | 1st | 2nd | 3rd |
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29 | 5 x4 | 4 x2 | 1 x1 |
| Les résultats d’une étude plus qu’intéressante menée par l’université de Göttingen (All.) dans le cadre du projet Theratalk sont fort surprenants. Jusqu’à présent, une grande majorité pensait qu’une trop grande activité sexuelle est source de stress. Si l'on en croit les conclusions de cette étude, il faudrait peut-être inverser la proposition : la faible fréquence des rapports sexuels peut déclencher un stress élevé.
Les amateurs de la chose se vanteront sans doute de l’avoir toujours su : il est avéré que le stress tue le désir. Mais les chercheurs allemands ont découvert qu'un manque d'activité sexuelle peut augmenter le niveau de stress. Les couples concernés se retrouvent dans un engrenage menaçant leur relation et auquel ils ne peuvent guère échapper par leurs propres moyens. Plus de 30 000 hommes et femmes ont participé au projet. Bilan : un tiers des « cobayes » ayant, au plus, des rapports sexuels une fois par semaine, se jettent à corps perdu dans le travail… une façon de surmonter le stress généré par une activité sexuelle domestique décevante. Autrement dit, le calme plat régnant sous nos couettes – ou ailleurs – est inversement proportionnel au dynamisme professionnel dont font preuve les personnes concernées.
Par contre, il suffit d’avoir des relations sexuelles deux fois par semaine pour travailler de façon plus détendue. Les patrons vont peut-être tendre l’oreille et s'inquiéter, partant du principe que leur personnel devrait faire moins souvent l’amour pour être plus performant. Mais même les dirigeants d’entreprise devraient savoir que l'épuisement professionnel et la dépression ne sont jamais loin. Et sont cause d’absentéisme. Une activité débridée n’étant d’ailleurs pas automatiquement synonyme de productivité : une personne sexuellement active et détendue peut fort bien réussir professionnellement.
Un défaut d’activité sexuelle génère du stress et le stress tue le désir : un phénomène récurrent que les spécialistes interprètent comme une spirale vers le bas pouvant, à la longue, menacer une relation de couple. Frustration sexuelle et insatisfaction en sont les premiers indicateurs et il est donc primordial que les couples observent en permanence leur activité sexuelle, leur satisfaction et leur plaisir individuel. La sincérité du dialogue est un facteur crucial, l’erreur consistant à se taire par pudeur, voire par souci de ne pas blesser le partenaire – une tactique employée à mauvais escient. Si deux personnes ne parviennent pas, de leur propre initiative, à parler de ce problème et à trouver un bonheur durable, une thérapie de couple s'impose, car le refoulement risque de provoquer une rupture ou tout autre drame. Pour en revenir à l’étude, il apparaît que les personnes souffrant de frustration sexuelle s'engagent souvent dans des activités dont elles auront du mal à se débarrasser... le travail associatif par exemple. Cherchant tout simplement à éclipser une frustration sexuelle avérée, ces personnes disposent donc de moins de temps pour leur relation de couple, ce qui a bien entendu une incidence négative sur le niveau de satisfaction sexuelle. Un cercle vicieux plus que redoutable !
| Entry #3769
Voting points | 1st | 2nd | 3rd |
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15 | 2 x4 | 2 x2 | 3 x1 |
| Une étude, particulièrement intéressante, pratiquée dans le cadre du projet « Theratalk » de l’Université de Göttingen en étonne plus d’un.
La plupart d’entre vous pensaient jusqu’à présent, que trop de sexe engendrait du stress.
Or, après analyse des résultats de cette étude, il semble que ce soit tout le contraire : avoir insuffisamment de relations sexuelles peut entraîner une augmentation du niveau de stress.
Rien de nouveau sous le soleil, rétorqueront les branchés « sexe ».
Le stress tue la libido, c’est bien connu. Mais les chercheurs de Göttingen ont de plus découvert qu’un manque d’activité sexuelle pouvait faire grimper le niveau de stress.
Les couples touchés par ce problème se trouvent pris dans un tourbillon d’émotions dangereuses pour leur relation, dont, seuls, ils ne peuvent s’extraire qu’avec peine.
Plus de 300.000 hommes et femmes ont pris part à ce projet. Résultat: un tiers de ceux qui n’ont au maximum qu’une relation sexuelle par semaine se jette à corps perdu dans le travail.
C’est une manière de faire face à la frustration engendrée par leur vie amoureuse, quand rien ne va plus à la maison ; moins on en fait dans son propre lit, ou ailleurs, plus l’ardeur au travail augmente.
Par contre, ceux qui ont des relations sexuelles avec leur partenaire au moins deux fois par semaine, prennent leur travail de manière plus détendue.
Constatation qui doit faire dresser l’oreille des employeurs et les rendre nerveux. Car contraire à l’axiome: moins les employés auront de relations sexuelles, plus ils seront plus rentables.
Cependant, même aux étages supérieurs, on a dû prendre conscience que l’épuisement et la dépression guettaient, avec pour corollaire les arrêts-maladie correspondant. De plus, il ne faut pas confondre hyperactivité et productivité. Une personne sexuellement active et détendue peut tout à fait réussir sa vie professionnelle.
Le fait que le manque d’activité sexuelle provoque du stress et que le stress, lui, tue la libido sont inter-complémentaires.
Les experts parlent d’une spirale descendante, qui à la longue, peut être fatale à la relation. La frustration et l’insatisfaction sexuelle en sont les indicateurs. Il est par conséquent très important pour les couples de constamment analyser leurs activités sexuelles, leur degré de contentement mutuel, ainsi que leur satisfaction personnelle. Il est particulièrement important de discuter sans réserve avec son partenaire. Se taire, soit par honte, soit par respect mal placé, est une erreur. Lorsque deux personnes ne réussissent pas d’elles mêmes à parler de ce sujet et à être heureuses à long terme, une thérapie de couple est à conseiller. Refouler tout cela, c’est le pas vers une fin probable de la relation ou vers d’autres drames.
Pour en revenir à l’étude : les personnes sexuellement frustrées s’engagent souvent dans des activités, telles qu’associatives, dont elles n’arrivent à se libérer qu’avec peine. Il s’agit ainsi de se distraire d’une frustration sexuelle intense. Et la conséquence en est, moins de temps pour sa propre relation, ce qui bien sûr a un effet négatif sur la satisfaction sexuelle.
Un cercle vicieux extrêmement dangereux !
| Entry #4366
Voting points | 1st | 2nd | 3rd |
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13 | 3 x4 | 0 | 1 x1 |
| Le manque de sexe peut engendrer le stress! par Silvia Julkin –
Une étude extrêmement intéressante réalisée dans le cadre du projet Theratalk de l'Université de Göttingen a mis en évidence des résultats qui en étonnent plus d'un. Jusqu'ici, la plupart des gens croyaient qu'un excès de sexe pouvait être la cause de stress. Mais l'évaluation du projet montre que les effets peuvent être exactement inverses. Si des partenaires font trop peu l'amour, il peut s'ensuivre une forte situation de stress.
Il y a longtemps que nous le savions, doivent penser ces jours-ci les amateurs de sexe. Il est bien connu que le stress tue le plaisir. Mais les chercheurs de Göttingen ont découvert que le manque de sexe peut faire grimper le niveau de stress. Les couples concernés sont entraînés dans un tourbillon néfaste à leur relation auquel il ne peuvent guère échapper sans aide extérieure. Plus de 30 000 hommes et femmes ont participé à ce projet. Il en est résulté qu'un tiers d'entre eux, qui ne font l'amour qu'une fois par semaine au maximum, se jettent à corps perdu dans le travail. C'est leur façon de surmonter la frustration provoquée par une vie amoureuse ratée sous son propre toit. Plus les expériences sexuelles de ces personnes se font rares, que ce soit à la maison ou ailleurs, plus leur rage de travail augmente.
Par contre, celles qui font l'amour ne serait-ce que deux fois par semaine avec leur partenaire abordent leur travail avec plus de sérénité. Les patrons vont tendre l'oreille et commencer à s'inquiéter. Ils sont persuadés que si leurs employés font moins l'amour ils travailleront davantage. Mais les responsables des entreprises devraient entre-temps avoir pris conscience du fait que leurs collaborateurs peuvent souffrir de burn-out et sombrer dans la dépression. Avec, à la clef, des heures de travail perdues. Et l'activisme n'est pas forcément synonyme de productivité. Une personne détendue grâce à une vie sexuelle active peut tout à fait réussir dans sa vie professionnelle.
Un manque de sexe engendre le stress, qui à son tour tue le plaisir. Ces deux phénomènes sont complémentaires. Les experts parlent d'une spirale entraînant vers le bas. A la longue, cette situation peut signifier la fin d'une relation. Ses indicateurs sont la frustration sexuelle et l'insatisfaction . Il est donc important que les couples veillent à toujours préserver leurs activités sexuelles, leur satisfaction et leur plaisir individuel. II est particulièrement important de dialoguer sans réserve avec son partenaire. C'est une erreur de se taire par pudeur, voire par une attention mal comprise envers l'autre. Quand deux partenaires n'arrivent pas tous seuls à parler de leurs problèmes et à atteindre un bonheur durable, il est recommandé d'avoir recours à une thérapie de couple. Le refoulement est le premier pas vers une éventuelle fin de leur relation ou vers d'autres drames. Mais revenons à notre étude . Les frustrés du sexe acceptent souvent des obligations dont ils ont le plus grand mal à se débarrasser. Comme les activités au sein d'une association. En s'y livrant, on cherche tout simplement à oublier ses frustrations sexuelles aiguës. On a donc moins de temps à consacrer à sa relation de couple, ce qui a des répercutions négatives sur la satisfaction sexuelle. Un cercle vicieux extrêmement dangereux!
| Entry #4633
Voting points | 1st | 2nd | 3rd |
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11 | 2 x4 | 1 x2 | 1 x1 |
| Une étude fort intéressante réalisée dans le cadre du projet Theratalk par l’université de Göttingen a de quoi surprendre plus d’un. La plupart des gens pensaient en effet jusque là que les rapports sexuels trop fréquents pouvaient être vecteurs de stress. L’analyse du projet montre cependant que c’est justement le contraire qui peut se produire. Si les gens font trop peu souvent l’amour, un grand stress peut s’ensuivre.
« On l’a toujours su », se diront aujourd’hui peut-être les adeptes d’une vie sexuelle bien remplie. Il est bien connu que le stress tue le désir. Ce que les chercheurs de Göttingen ont par contre percé à jour, c’est qu’un déficit de rapports sexuels peut augmenter le taux de stress. Les couples concernés s’engouffrent dans une sorte de spirale qui mine leur relation, une spirale dont ils ont bien du mal à se sortir seuls. Plus de 30.000 hommes et femmes on participé au projet. Il en résulte qu’un tiers de ceux qui font l’amour au maximum une fois par semaine se jette corps et âme dans le travail - une façon de gérer la frustration engendrée par une vie amoureuse pauvre à la maison. Moins il se passe dans leur propre lit - ou ailleurs -, et plus l’acharnement au travail est en augmentation chez les personnes concernées.
Ceux - ou celles - qui ont ne serait-ce que deux rapports sexuels par semaine avec leur partenaire ont un rapport plus détendu au travail. Les patrons pourraient bien dresser l’oreille, s’inquiéter et en arriver à la conclusion que, pour être plus performant, leur personnel devrait faire moins souvent l’amour. Dans les rangs des dirigeants on doit cependant aussi savoir que l’épuisement professionnel existe et que les gens peuvent sombrer dans la dépression, avec les arrêts maladie que cela entraîne. Et puis, qui dit actionnalisme ne dit pas forcément productivité. Une personne détendue et épanouie sur le plan sexuel peut tout à fait réussir dans sa vie professionnelle.
Qu’une vie sexuelle inexistante ou très réduite engendre du stress et que celui-ci soit à son tour susceptible de tuer le désir va en réalité de pair. Les experts parlent d’une spirale négative. Et pour la relation du couple, ce peut être le début de la fin. Les indices pertinents sont la frustration sexuelle et l’insatisfaction. Il importe donc que le couple garde un oeil sur ses activités sexuelles et sur son plaisir, ainsi que sur la satisfaction personnelle de chaque partenaire. Ce qui compte par-dessus tout, c’est de se parler sans retenue. Se taire par honte ou encore dans un souci mal compris de préserver l’autre serait une erreur. Si les deux partenaires ne s’en sortent pas seuls, c’est-à-dire s’ils n’arrivent pas à en parler et à être heureux dans la durée, une thérapie de couple peut être indiquée. Refouler ses sentiments à ce niveau peut-être le premier pas vers la fin du couple ou vers d’autres drames. Mais pour en revenir à l’étude en question : les gens frustrés dans leur vie sexuelle se chargent souvent d’obligations dont ils ont du mal à se débarrasser par la suite. Comme par exemple les activités associatives. On s’y réfugie simplement pour se distraire de ses frustrations sexuelles du moment, et on finit par avoir moins de temps à consacrer à son couple. Ce qui a, bien entendu, un impact négatif sur la satisfaction sexuelle. Un cercle vicieux extrêmement dangereux s’installe alors.
| Entry #3767
Voting points | 1st | 2nd | 3rd |
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10 | 2 x4 | 1 x2 | 0 |
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Une surprise attend bien des gens à la lecture de la captivante étude du projet Theratalk de l’Université de Göttingen. Pour la plupart, ils étaient jusque là convaincus que l’abus de sexe constituait une cause de stress. Or, les conclusions du projet portent à croire précisément le contraire : moins fréquentes seraient les relations sexuelles, plus élevé serait le niveau de stress.
« C’est ce que nous avons toujours cru », se réjouiront dorénavant les partisans d’une sexualité active. On sait que le stress supprime la libido. Cependant, les chercheurs de Göttingen ont découvert qu’une activité sexuelle insuffisante pouvait faire augmenter le niveau de stress. Des couples en difficulté sont la proie d’un maelström de relations conflictuelles dont ils n’arrivent pratiquement pas à s’échapper par eux-mêmes. Plus de 30 000 hommes et femmes ont participé au projet. Les résultats montrent qu’un tiers d’entre eux, qui n’ont pas plus d’une relation sexuelle par semaine avec leur partenaire, se lancent à corps perdu dans leur travail, compensant ainsi la frustration occasionnée par une vie amoureuse négligée au foyer. Moins fréquentes sont les rencontres sous les couvertures (ou ailleurs selon les cas), plus s’élève la rage de travail chez les personnes en difficulté.
Au contraire, les personnes qui ont des relations sexuelles avec leur partenaire deux fois la semaine, font face au travail de façon plus décontractée. Les employeurs, quelque peu inquiets, dresseront sans doute l’oreille. Ils avaient jusque là pour leur dire que moins leurs employés avaient de relations sexuelles, plus ils s’avéraient productifs. Au contraire, à différents niveaux de la hiérarchie, les gens se brûlent, peuvent sombrer dans la dépression et rester immobilisés pour des périodes correspondantes à la gravité de leur cas. Activisme n’est donc pas synonyme de productivité. Une personne active sexuellement et détendue peut parfaitement avoir du succès.
Que le manque d’activité sexuelle conduise au stress va de pair avec le fait que le stress supprime à son tour la libido. Les experts parlent dans ce cas de « spirale descendante ». Ce qui peut à la longue signifier la fin d’une relation. Les signes avant-coureurs sont la frustration sexuelle et la grogne. C’est pourquoi, il est important pour les couples de garder constamment à l’esprit tant leurs relations sexuelles et leur plaisir mutuel que leur satisfaction personnelle. Il est particulièrement important d’en discuter ouvertement entre partenaires. Garder le silence par pudeur ou par crainte d’être mal compris constitue une erreur. On conseillera comme thérapie aux couples éprouvant des difficultés d’en discuter et de retrouver ainsi petit à petit le chemin du bonheur. Le refoulement, au contraire, ne saurait être qu’une étape sur la voie de l’extinction éventuelle d’une relation à deux ou d’autres drames.
Mais, revenons à l’étude. Les gens frustrés sexuellement accepteront souvent des responsabilités dont ils n’arriveront que difficilement à se dégager. La participation à des activités de groupe se transforme ainsi en défoulement des frustrations sexuelles. Suite à quoi, ces personnes ont encore moins de temps pour s’occuper de leur vie de couple, ce qui se traduit en résultats négatifs pour l’épanouissement sexuel. Un cercle vicieux on ne peut plus dangereux !
| Entry #4168
Voting points | 1st | 2nd | 3rd |
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4 | 1 x4 | 0 | 0 |
| Une étude particulièrement intéressante du projet „Theratalk“ de l’université de Göttingen en étonnera plus d’un. Jusqu’ici la plupart des gens pensaient que trop de sexe générait du stress.
Or d’après les conclusions de ce projet, ce serait exactement le contraire.C’est d’une activité sexuelle trop réduite que découlerait le stress.
Nous le savions depuis toujours, peuvent se dire désormais les idolâtres du sexe. Le stress, comme on le sait, tue le désir. Les göttingois ont pourtant découvert que l’insuffisance de sexe peut augmenter la courbe du stress. Les couples concernés sont pris dans un engrenage propre à détruite leur relation, engrenage duquel ils ne sont plus en mesure de s’extraire tous seuls. Plus de 30 000 hommes et femmes ont participé au projet. On a pu constaté que le tiers des personnes interrogées n’ayant au maximum qu’une seule relation sexuelle par semaine, se jetait corps et biens dans le travail. Un moyen de surmonter sous le même toit, la frustration et le sacrifice de la vie amoureuse. Moins il s’en passe dans le lit ou ailleurs, plus la frénésie de travail augmente chez ses personnes.
Par contre, ceux qui se rencontrent sexuellement deux fois par semaine au minimum, sont plus détendus au travail. Les patrons vont tendre l’oreille et s’inquiéter. Le mot d’ordre pourrait devenir : mon personnel devrait avoir moins de relations sexuelles, ainsi il en fera plus. Pourtant dans les conseils d’administration, on doit être au courant des phénomènes d’épuisement et de chute dans la dépression de ces personnes. Avec les absences que cela entraîne. Et puis il ne faut pas confondre actionnisme et productivité. Une personne active sur le plan sexuel et détendue, peut être aussi en réussite professionnelle.
Le manque de sexe provoque du stress qui lui-même entraîne la disparition du désir et la boucle est bouclée. Les experts parlent d’une spirale descendante. Ce qui peut entraîner dans la durée la fin de la relation. Comme symptômes : frustration sexuelle et insatisfaction. C’est pourquoi il est important qu’un couple pense à entretenir son activité sexuelle, sa satisfaction ainsi que son bien-être individuel. Il est particulièrement important de communiquer sans entrave. Se taire par honte ou par égards déplacés est une erreur. Lorsque deux personnes n’arrivent pas toutes seules à aborder le sujet et à être heureux ensemble durablement, une thérapie de couple s’impose. Refouler le problème est le plus sûr chemin vers une rupture possible de la relation ou autres dénouements dramatiques.
Pour en revenir à cette étude : les frustrés sexuels endossent souvent des responsabilités dont ils parviennent ensuite difficilement à se dégager.Comme de s’impliquer dans des activités associatives. En fait, ils ne font que chercher à se soustraire à une frustration sexuelle trop aiguë. De ce fait, ils ont moins de temps pour leur relation, ce qui se répercute négativement sur la satisfaction sexuelle. Un très dangereux cercle vicieux !
| Entry #4247
Voting points | 1st | 2nd | 3rd |
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